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10/03/24
m.à.j. 08/05/24

Premières contestations...
dont l'argumentation nous semble irréfutable...


1) le STOP.
Le principe de l'arrêt complet au "stop" date des débuts du code de la route (1920 aux USA), et il a été purement et simplement démoli par la mise en place du "cédez le passage" vers 1946, avec une généralisation en France, par le remplacement de nombreux "stop" en 1974.  Il devient dès lors incompréhensible d'estimer que dans les mêmes situations de "perte absolue de toute priorité" un conducteur puisse être considéré, dans un cas comme capable d'analyse autonome et de choix de son action, et dans l'autre cas comme totalement incapable de cette responsabilité.  On peut y ajouter que dans tous les autres cas de priorités définies (simple priorité à droite, feu rouge muni d'une flèche "tourne à droite", et "cédez le passage") les conducteurs bénéficient d'une totale autonomie de choix de leur manœuvre.  Le "stop" constitue donc un déni total d'autonomie et de responsabilité des conducteurs sans aucune justification logique, cohérente, et donc légitime, MAIS il fournit l'occasion de millions de verbalisations abusives et malhonnêtes, ET l'entretien d'une véritable soumission imposée (si bien utilisée pour les diverses "contraintes covid").
Argument technique supplémentaire :  Les "feux rouges" sont quelquefois équipés d'une flèche orange "tourne-à-droite", adaptée au fait qu'il n'y a pas la même difficulté à simplement s'insérer dans une seule file, qu'à en couper plusieurs (c'est même la règle de base aux USA, le panneau "no turn right" venant limiter cette disposition générale lorsque c'est nécessaire).  Cette évidence factuelle devrait notamment pouvoir s'appliquer aux 'stops' qui protègent l'accès à des routes prioritaires et à grande circulation (nationales ou départementales).  Si le 'stop' est (à peu près) justifié pour tourner à gauche en coupant les deux voies (nécessité de vérifier les deux sens de circulation), il n'est évidemment pas aussi impératif pour l'usager qui veut seulement tourner à droite en s'insérant simplement dans la première file de circulation (vérification du trafic sur sa gauche seulement).  C'est particulièrement évident pour les très nombreux 'stops' où la visibilité est bonne et longue, ce qui ne justifie en aucun cas l'obligation d'un arrêt complet et imposé pour tourner à droite.  Rien ne peut justifier que l'autonomie et la responsabilité accordée au conducteur sur l'ensemble du réseau routier lui soit retirée et supprimée par UN panneau spécifique, sans aucune considération du contexte local précis.  Cette verbalisation est donc le plus souvent particulièrement abusive et sa sévérité uniforme (entre une vraie imprudence inacceptable, et un 'coulé maîtrisé' avec large visibilité) est totalement injustifiée.

2) Les LIMITATIONS de VITESSE.
2.a- Le cas du "80" :  Cette arnaque gouvernementale était destinée -à provoquer des recettes supplémentaires non dénommées "impôts" et -à renforcer une obéissance imposée (en réalité DÉ-responsabilisante) qui a été si bien utilisée pendant le fake-covid.  Aujourd'hui la moitié des départements ont rétabli en tout ou partie l'ancien "90" sur leurs réseaux routiers.  Or, en France, la Loi générale ne se fait en aucun cas "par département", ce qui contredirait "Egalité" de notre devise nationale.  Il y a donc lieu de contester formellement le "80" devant les autorités juridiques concernées, et nous estimons pouvoir entrer dans une "désobéissance civile affirmée" en ne respectant plus ce "80".  Il nous semble simplement utile, pour ce faire, d'en demander préalablement la modification à votre Conseil Départemental, et d'en prévenir votre Procureur (avec copie éventuelle à votre gendarmerie/police locale) pour pouvoir contester tout PV qui vous serait établi de ce fait.

2.b- L'ensemble des limitations :  C'est un fait établi de la réglementation routière que l'écart entre les vitesses établies pour les différents secteurs (autoroutes, routes, rocades, ville, travaux, écoles) a toujours été de 20k/h (anciennement 140,100,80,60,40... puis 130,110,90,70,50,30...).  On peut en conclure que le législateur (conseillé par les techniciens) ne considère pas utile et nécessaire de fixer des limites régulières par tranches de 10k/h.  La conclusion évidente est qu'une différence de 10-12k/h ne constitue pas un tel danger qu'elle justifierait sa mise en place généralisée (il y a évidemment quelques exceptions en petit nombre et très localisées).  Ceci suffit à démontrer la malhonnêteté d'une réglementation qui prévoit de verbaliser un non-respect de la vitesse à partir de 5k/h de dépassement.

2.c- Conditions de circulation :  C'est une évidence indiscutable que la vitesse à observer pour conserver la maîtrise de son véhicule, et donc une sécurité acceptable pour l'ensemble des usagers, dépend de plusieurs facteurs dont les plus importants sont la météo (pluie, neige, verglas, brouillard, vent fort) et la densité du flux de circulation.  Les autres facteurs particuliers :  -état du véhicule, -état du conducteur (réflexes, fatigue...) sont plus aléatoires et annexes.  C'est donc par un abus manifeste et délibéré que le législateur prétend nous imposer une vitesse limite à 5k/h près, partout, et 24h/365j.
Le meilleur exemple en est donné par la limitation devant les écoles à un "30" impératif et permanent.  Or si l'on veut bien considérer que cette limitation n'est légitime qu'en présence des très nombreux piétons, parents et élèves, aux heures d'entrées et de sorties des cours, il est évident que cette limitation est totalement inutile toute la nuit (~12h), les week-ends, jours fériés et périodes de vacances scolaires, soit un minimum de 184 jours complets et 181 nuits.  Le résultat est édifiant, cette limitation ne serait justifiée que 25% du temps annuel sans même avoir encore parlé des périodes de cours effectifs (minimum de 5 à 6h/jour sans circulation piétonne), ce qui réduit le temps utile à moins de 15% du temps annuel.
L'abus de pouvoir et de réglementation inutile, donc illégitime, est éclatant.

Il faut donc, à notre avis, entamer la contestation formelle de ces deux sujets, ce qui permettra, après y avoir démontré la malhonnêteté délibérée de nos gouvernants, d'en attaquer bien d'autres (sur la route ET en dehors...).


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